L’architecture des temples Mayas se divise en 9 paliers, 9 niveaux de l’ouverture du champ de conscience, 9 étapes, 9 sous mondes où chaque étape est reliée, mais aussi interdépendante de la suivante.
1. Chaque niveau correspond à une onde, en alternance entre le jour et la nuit.
2. Chaque onde est subdivisée en 13 énergies (soit 13 ondes).
3. En alternance entre le jour et la nuit :
A - Jour = Périodes de créations, et de prospérités
B - Nuit = Périodes de crises, de réflexions, de dépressions dans l’histoire de l’humanité
4. Les degrés supérieurs des niveaux du temple marquent la différence avec les niveaux inférieurs.
5. De ce fait, il existe des changements fréquents et cycliques entre chaque degré de la pyramide.
6. Ces changements s’accélèrent.
7. Lorsque les ondes traversent les niveaux inférieurs : les grandes crises financières et les dépressions mondiales apparaissent générant un sentiment de panique humaine généralisée.
8. Ce phénomène dépasse la compréhension, et la responsabilité humaine car elle représente une phase de purification, un acte volontaire cyclique de la nature.
9. Ce rituel existe depuis des millions d’années.
Seven, Extraits
Chroniques de la Cyberculture
Sept, 2010.
mercredi 1 septembre 2010
LE PEUPLE MAYA DEFI LA RAISON CONTEMPORAINE
An 250 à 900 de notre ère :
Les Mayas affirment avoir été illuminés par le 5ème cycle solaire. Selon eux, quatre autres civilisations passées auraient péries dans de terribles cataclysmes naturels.
Le ciel était composé de treize strates, chacune ayant sa propre divinité. Au niveau le plus élevé se trouvait l’oiseau muan.
Obsédés par les cieux, la fiabilité de leurs théories astronomiques se confirme aujourd’hui par les grands scientifiques de notre époque, grâce au développement des images satellitaires, et des nouvelles grandes interrogations humaines et ésotériques, corollaires de l’an 2000 :
1- Un trou noir existe au centre de la voie lactée
2- De ce trou noir serait issue toute vie (étoiles, planètes, vie végétale, vie animale, vie humaine)
Les Prêtres Mayas regardaient à notre époque à l’heure du soleil levant sur des terrains de jeu sacrés, où une balle devait être projetée au centre de deux anneaux de pierre à 5 mètres de hauteur, afin de procéder à un rituel de commémoration cosmologique et de préparation au passage vers l’atteinte de dimensions d’une vie supérieure spirituelle (soit un simulacre de la période apocalyptique annoncée en Décembre 2012).
La symbolique du Terrain du Jeu de Balle ou « Jeu Sacré du
Pok-ta-Pok. » [1] :
ð Le trou noir représentait le nombril de la galaxie,
ð La balle[2] : le Soleil, lors du solstice de décembre,
ð L’anneau : l’Equateur de la galaxie, l’Univers.
« Chaque équipe de deux à douze joueurs devait se renvoyer la balle par l’anneau de pierre en employant selon les régions : les hanches, coudes, genoux où parfois les parties extérieures de la main et sans laisser tomber la balle par terre. Les déplacements de la balle qui monte et retombe au cours du jeu, miment la course du Soleil « [3]
Si la balle n’atteignait pas le centre de l’anneau, le chef était décapité, car l’échec au jeu signifiait l’incapacité de l’homme a maitriser ses épreuves.
L’échec au jeu était perçu comme un inévitable fin du monde, quant au rituel du sacrifice humain, il était destiné à satisfaire les Dieux.
Seven, 2010.
An 250 à 900 de notre ère :
Les Mayas affirment avoir été illuminés par le 5ème cycle solaire. Selon eux, quatre autres civilisations passées auraient péries dans de terribles cataclysmes naturels.
Le ciel était composé de treize strates, chacune ayant sa propre divinité. Au niveau le plus élevé se trouvait l’oiseau muan.
Obsédés par les cieux, la fiabilité de leurs théories astronomiques se confirme aujourd’hui par les grands scientifiques de notre époque, grâce au développement des images satellitaires, et des nouvelles grandes interrogations humaines et ésotériques, corollaires de l’an 2000 :
1- Un trou noir existe au centre de la voie lactée
2- De ce trou noir serait issue toute vie (étoiles, planètes, vie végétale, vie animale, vie humaine)
Les Prêtres Mayas regardaient à notre époque à l’heure du soleil levant sur des terrains de jeu sacrés, où une balle devait être projetée au centre de deux anneaux de pierre à 5 mètres de hauteur, afin de procéder à un rituel de commémoration cosmologique et de préparation au passage vers l’atteinte de dimensions d’une vie supérieure spirituelle (soit un simulacre de la période apocalyptique annoncée en Décembre 2012).
La symbolique du Terrain du Jeu de Balle ou « Jeu Sacré du
Pok-ta-Pok. » [1] :
ð Le trou noir représentait le nombril de la galaxie,
ð La balle[2] : le Soleil, lors du solstice de décembre,
ð L’anneau : l’Equateur de la galaxie, l’Univers.
« Chaque équipe de deux à douze joueurs devait se renvoyer la balle par l’anneau de pierre en employant selon les régions : les hanches, coudes, genoux où parfois les parties extérieures de la main et sans laisser tomber la balle par terre. Les déplacements de la balle qui monte et retombe au cours du jeu, miment la course du Soleil « [3]
Si la balle n’atteignait pas le centre de l’anneau, le chef était décapité, car l’échec au jeu signifiait l’incapacité de l’homme a maitriser ses épreuves.
L’échec au jeu était perçu comme un inévitable fin du monde, quant au rituel du sacrifice humain, il était destiné à satisfaire les Dieux.
Seven, 2010.
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